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Une sataniste menacée d'être expulsée d'un avion à cause de ses vêtements jugés offensants

Par NTD

Aux États-Unis, lors d'un vol intérieur, une femme d'une quarantaine d'années a été obligée de couvrir son t-shirt jugé offensant sous peine de se faire d'expulser de l'avion qui devait la conduire au Nevada.

C'est le Daily Mail qui rapporte l'histoire de Swati Runi Goyal, une femme de 49 ans qui a vécu une véritable mésaventure le 30 octobre dernier lors d'un vol entre la Floride et le Nevada. En effet, un membre du personnel d'American Airlines l'a obligé de couvrir son t-shirt offensant sous menace de se faire expulser de l'avion. L'employé en question a trouvé son t-shirt trop offensant parce qu'il contenait l'inscription «Gloire à Satan». Comme vous allez pouvoir le voir ci-dessous, il y a déjà eu plus choquant comme t-shirt dans l'histoire.

Swati Runi Goyal a décidé de se plaindre auprès de la compagnie aérienne qu'elle accuse de discrimination, raconte le Daily Mail. Si au début, elle pensait que c'était une mauvaise blague de la part du staff, elle estime avoir été humiliée ce jour-là. L'employé en question lui a répété à plusieurs reprises que son t-shirt était offensif et qu'elle devait le cacher. Le média britannique explique que cette histoire a pris tellement de grosses proportions que le décollage de l'avion a été retardé. Elle n'a donc pas eu le choix de se couvrir si elle voulait se rendre à destination.

Pour ne rien arranger pour la compagnie aérienne, Swati Runi Goyal est membre de l'église satanique qui est considérée comme une église à part entière aux États-Unis, indique le Daily Mail. Cette accusation de discrimination est donc appropriée dans ce contexte. 

Dans un tweet, American Airlines a en profité pour déclarer qu'elle ne cautionner pas le geste de son employé. «La discrimination n'a pas sa place chez American Arlines. Merci de nous écrire en privé pour parler plus en détail de cette affaire». Le média britannique explique que depuis un porte-parole de la compagnie aérienne s'est excusé auprès de cette femme d'une quarantaine d'années. Une publicité dont se serait bien passée l'entreprise.

Source: Daily Mail

Crédit Photo: Facebook