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Une mère conserve son fils mort dans une baignoire pendant 6 ans

Par NTD

Alors que les pompiers ont été appelés pour le cas d'une octogénaire qui ne donnait plus de signe de vie, ils ont découvert par la même occasion que cette dernière avait conservé son fils mort dans une baignoire pendant 6 ans. 

C'est Le Parisien qui rapporte cette nouvelle digne des plus grands films hollywoodiens qui nous vient de la commune de Mont-Saint-Aignan en Seine-Maritime. En effet, alors que les pompiers avaient été contactés pour vérifier qu'une octogénaire allait bien alors qu'elle ne donnait pas signe de vie, ils ont découvert en plus que cette dernière avait conservé son fils mort dans une baignoire pendant 6 ans. Avant de faire cette découverte bien troublante, ils ont retrouvé la femme allongée sur le sol parce qu'elle souffrait d'une grande déshydratation.

Le Parisien indique qu'elle a été transportée à l'hôpital, mais les pompiers ont décidé de faire un tour de l'appartement pour s'assurer que tout allait bien. C'est à ce moment-là qu'ils vont faire une découverte inattendue dans la baignoire de l'octogénaire. En effet, ils vont retrouver le corps momifié d'un homme qui s'est avéré être son fils. Il est mort il y a 6 ans lorsqu'il avait 51 ans relate, le quotidien. Ainsi, sa mère l'a conservé pendant tout ce temps et se permettait même de changer ses vêtements et de faire sa toilette. Oui, vous avez bien lu.

Toujours selon les informations relayées par Le Parisien, le voisinage de cette femme âgée a été complètement choqué en apprenant la nouvelle. Certains pensaient qu'il avait déménagé, mais ne pouvait pas s'imaginer qu'il était conservé dans la salle de bain de cette octogénaire que beaucoup décrivent comme une personne n'ayant plus toute sa tête. Il semblerait notamment qu'elle parlait toute seule. 

Une autopsie du corps va être réalisée d'ici les prochains jours afin de tenter de comprendre de quoi est mort cet homme d'une cinquante d'années, indique Le Parisien. Il s'agit donc d'un dossier à suivre de très près.

Source: Le Parisien

Crédit Photo: Adobe Stock