Le cadavre momifié d’une retraitée découvert chez elle 5 ans après sa mort

Il s'agit d'une des histoires les plus surprenantes de la journée et elle nous vient des Hauts-de-Seine où le cadavre momifié d’une retraitée a été découvert chez elle 5 ans après sa mort. Une nouvelle qui fait froid dans le dos.

C'est Le Parisien qui rapporte cette histoire complètement hors du commun qui nous vient de Courbevoie dans les Hauts-de-Seine. En effet, le cadavre momifié d’une retraitée a  été découvert chez elle 5 ans après sa mort. C'est un huissier de justice qui a fait la découverte dans l'appartement qu'elle habitait depuis 1997. Alors qu'elle continuait à payer son loyer via des prélèvements automatiques, personne ne la voyait dans l'immeuble et elle ne répondait pas lorsque quelqu'un tapait à la porte. Le bailleur social pensait donc qu'elle faisait une sous-location de son appartement, ce qu'elle n'avait pas le droit de faire.

Le Parisien indique qu'une procédure judiciaire a été lancée par le bailleur social et c'est donc un huissier de justice qui a découvert le pot aux roses. En effet, lorsqu'il a ouvert l'appartement, il a découvert le corps en décomposition de cette femme qui aurait eu 74 ans aujourd'hui. D'autres détails indiquent que cela faisait un bon moment qu'elle est décédée. Le quotidien parle notamment de la date de péremption des aliments, mais aussi du courrier reçu dont les lettres les plus vieilles remontent à 2015.

D'après les informations relayées par Le Parisien, elle avait coupé les ponts avec sa famille toute entière et ne recevait aucune visite. Personne ne la voyait dans l'immeuble. Elle passait pour une personne discrète qui aimait être seule. Ainsi, personne ne se doutait de rien bien que le quotidien indique qu'il y avait une odeur assez nauséabonde qui se dégageait de son appartement. Cependant, la gardienne pensait que cette odeur était due à un problème lié au fonctionnement du vide-ordures. Malheureusement, ce n'était pas le cas et ses voisins l'ont laissé «pourrir» dans l'indifférence la plus complète.

Source: Le Parisien

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