Une mère affirme que la fillette de 6 ans qu'elle a adoptée est en fait une naine psychopathe de 22 ans qui veut la tuer.
Une mère affirme que la fillette de 6 ans qu'elle croyait avoir adoptée se trouvait en fait à être une naine sociopathe de 22 ans.
Tout comme bien des lecteurs et des lectrices en ce moment, vous vous dites probablement qu'il s'agit là de la prémisse d'un film d'épouvante où une jeune femme de 22 ans se fait passer pour une fillette, mais bien que ce soit difficile à croire, c'est bel et bien ce qui se serait produit selon la mère originaire des États-Unis.
Tout a donc débuté en 2013 lorsque le couple formé par Kristine Barnett, 45 ans, et son ancien amoureux Michael Barnett, 43 ans, a décidé d'abandonner dans son appartement de Lafayette, en Indiana, la fillette originaire de l'Ukraine qu'il avait adoptée, Natalia Grace, pour aller s'installer au Canada et ainsi, couper définitivement toute communication avec elle.
La police accuse maintenant les parents d'avoir laissé à elle-même la fillette pendant trois ans, qui souffre de nanisme, ce qui fait en sorte qu'elle éprouve des difficultés à marcher.
Or, Kristine Barnett prétend que les autorités ont ignoré un détail très important dans son histoire et il s'agit du véritable âge de la fillette qui serait supposée d'être âgée de 9 ans alors qu'en fait, elle aurait 22 ans.
Les deux parents affirment donc que ce ne sont pas eux les criminels dans cette histoire, mais bien la supposée fillette qui aurait menacé de poignarder ses parents dans leur sommeil, qui aurait tenté de pousser un d'eux dans une clôture électrique, mais aussi, qui aurait même versé de l'eau de javel dans leur café.
Par le passé, les deux parents étaient un exemple de "bons parents" pour leur communauté, car ils étaient parvenus à élever avec brio leur garçon autiste qui est désormais un étudiant très réputé dans son milieu.
Pour ajouter à l'horreur, tout indique que la petite Natalia Grace ne soit même pas originaire de l'Ukraine.
Il n'en demeure pas moins que pour le moment, ce sont les parents adoptifs qui devront répondre de leurs actions devant la justice et de toute évidence, leur cauchemar n'est pas du tout sur le point de prendre fin.
Source: DailyMail
Crédit Photo: Courtoisie