5 garçons âgés entre 9 et 14 ans violent une fillette de 8 ans après avoir regardé un film porno
Cinq garçons âgés entre neuf et quatorze ans ont violé une fillette de huit après après avoir visionné une vidéo pornographique sur un téléphone mobile, a révélé la police.
Les garçons ont réussi à attirer la fillette dans la résidence d'un ami, dans la région de Sahaspur, en Inde, un pays vivement critiqué pour les nombreux crimes violents envers des femmes et des filles. Puis ils l'ont agressée, jeudi de la semaine dernière. Les jeunes avaient visionné ensemble une vidéo pornographique sur un appareil mobile deux jours plus tôt.
«Les garçons ont ciblé cette fille, ils savaient qu'elle était seule à la maison à ce moment de la journée», a déclaré le chef de police de Shaspur, Naresh Rathore, au Times of India. «Ils ont planifié leur crime quelques jours auparavant.»
Les garçons ont tous été arrêtés dimanche et ils seront vraisemblablement accusés de viol. Ils ont été placés dans une maison de correction pendant que l'enquête est toujours en cours. La victime, elle, se remet de cette attaque chez elle, entourée de sa famille.
Par ailleurs, samedi dernier, cinq hommes d'une même famille ont violé une femme de 35 ans, aussi de leur famille, pour ensuite la brûler. Deux des cinq hommes ont été arrêtés, lundi dernier.
«Deux des suspects dans cette affaire ont été arrêtés lundi et nous sommes toujours à la recherche des autres hommes», a affirmé Radhey Mohan Bhardwaj, le chef de police, à l'Agence France-Presse.
Les hommes ont violé la jeune femme parce qu'ils étaient «agacés» parce qu'elle avait rencontré un homme.
La victime, une femme mariée et mère de deux enfants, a eu le temps de dévoiler l'identité de ses violeurs à son mari par téléphone après le viol, mais ses agresseurs l'ont ensuite brûlée vive.
L'Inde traverse une crise qui dure depuis des années alors que les crimes sexuels et les meurtres de femmes et de filles sont courants un peu partout dans le pays. Plus de 40 000 viols ont été rapportés à la police en Inde, en 2016. Mais plusieurs organisations estiment que le véritable nombre de victimes est probablement plus élevé, puisque certaines femmes choisissent de garder le silence.
Source: Daily Mail
Crédit Photo: Adobe Stock