Pénétration : que ressentent les hommes quand ils sont en nous ?
Les hommes et les femmes sont différents de par leur corps jusqu’à leur façon de pensée. Que ce soit l’un ou l’autre, nous souhaitons tous savoir ce qui se passe chez le sexe opposé. Nous avons donc souhaité permettre aux femmes de découvrir, par curiosité ou pour comprendre l’autre, ce que les hommes ressentent durant la pénétration.
Leurs premiers mots sont simples et généraux comme « chaud » ou « humide » et « accueillant » quand on demande aux hommes ce qu’ils ressentent durant la pénétration. Ils s’accordent aussi, pour la plupart, sur la texture voluptueuse et soyeuse du sexe féminin et sur le fait que l’environnement compte énormément. En outre, les hommes affirment, qu’au même titre que les femmes, le plaisir n’est pas toujours garanti. Découvrez quelques-unes de leurs explications !
Que ressentent les hommes durant la pénétration ?
« Certains vagins sont agressifs, d’autres candides et puis il y’a ceux qui vibrent, qui enserrent le pénis et ceux qui éjaculent… À l’heure actuelle, je peux deviner un peu le sexe d’une femme selon son caractère ; timide, chic, sauvage, coquine. » (Gabriel, 42 ans)
« Tout le plaisir se joue dans la contraction et le rythme des caresses que cela engendre le long du sexe. Mon désir est décuplé lorsque je suis à l’intérieur d’un vagin actif, vivant et qui ne subit pas. J’aime sentir réellement le vagin de ma partenaire, c’est l’union de nos corps. » (Enzo, 27 ans)
« La pénétration est un aboutissement. Surtout avec une nouvelle partenaire, c’est jouissif de se dire que tu la domines. Sans être un macho dans la vie quotidienne, arriver à la pénétration est une forme de puissance. Cette femme s’offre à toi et te fait confiance, quand tu rentres en elle, tu peux la sentir s’ouvrir… » (Mathis, 30 ans)
« Ce que je préfère, c’est regarder mon sexe qui rentre en elle à mesure des va-et-vient. Je constate la vigueur de mon sexe qui la pénètre comme s’il devenait extérieur à moi. » (Raphaël, 45 ans)
« Mon moment favori lors de la pénétration, c’est simplement d’être en elle. Plus rien n’existe autour, elle devient une part de moi et je deviens une part d’elle. Je pourrais rester des heures à l’intérieur d’elle, même si c’est très égoïste. Mais à cet instant, je ne suis que relaxation et plénitude. » (Jules, 26 ans)
« Un jour, j’ai connu une fille qui avait un vagin granuleux. C’était dérangeant, j’avais l’impression d’être à l’intérieur d’un gant rempli de sable… »(Antoine, 36 ans)
« Je parlerais plutôt de la sensation de pénétration car il y a aussi les odeurs corporelles, les parfums et tout ce qui entoure ce moment. » (Ayoub, 28 ans)
« Aucune pénétration ne ressemble à une autre. Ce qui est vraiment important, c’est comment nous faisons l’amour et si nous nous lâchons entièrement. Même avec la même personne, c’est toujours différent. » (Jean, 51 ans)
« L’essentiel pour moi, c’est de retarder le moment de la pénétration. Ressentir que ce corps fermé s’ouvre enfin et que ce n’est pas acquis. Ce que j’adore c’est d’entrer et sortir juste le bout de mon sexe afin de rester à l’entrée du vagin et de glisser progressivement vers le plaisir. »(Clément, 24 ans)
« Qu’est-ce que je ressens ? Du plaisir ! Bien que ce dernier ne soit pas garanti… Tout dépend de l’harmonie que j’ai avec l’autre et de la manière dont nous entrechoquons nos corps et nos esprits… Parfois c’est elle qui prend le dessus, qui impose la cadence. » (Vincent, 45 ans)
« Quelle douceur d’être au creux de ses reins ! Vous savez, il n’y a pas que moi qui la pénètre, c’est elle qui m’accueille et me veut en elle. Mon excitation est en lien avec son désir mais c’est vrai que les sensations changent durant certaines phases de son cycle. Parfois, je ressens une sensation incroyable lorsque le gland vient cogner le col de l’utérus. J’ai l’impression que ce dernier m’aspire et que je pourrais aller très loin… » (Bertrand, 53 ans)