Anne Casabonne en rajoute une couche dans une nouvelle vidéo

Après avoir semé la controverse avec une publication où elle comparait les vaccins contre la COVID-19 à de la « m*rde », Anne Casabonne en a rajouté une couche dans une nouvelle vidéo, mercredi. 

« Alors, je fais une petite intervention parce que j'aimerais apporter sur la table une solution, parce que notre premier ministre ainsi que ministre de la Santé ont peur de se trouver proche d'une infirmière qui serait non vaccinée », affirme-t-elle. 

La comédienne poursuit en disant que, comme les non-vaccinés sont testés plusieurs fois par semaine pour vérifier s'ils sont porteurs de la COVID-19, elle estime qu'il s'agit là d'une « garantie » qu'ils n'ont pas été contaminés. 

Elle demande que les personnes ayant complètement été vaccinées soient également testées, étant donné la possibilité de contracter le virus, même en étant adéquatement protégé. « Les seuls, pour l'instant qui sont négatifs, ce sont vraiment les non vaccinés, puisqu'ils sont testés », affirme-t-elle. 

Le 16 septembre dernier, Anne Casabonne avait déjà semé une première controverse en traitant le ministre de la Santé, Christian Dubé, et le premier ministre du Québec, François Legault, de « clowns », et avait comparé les vaccins contre la COVID-19 à de la « m*rde ». 

La comédienne avait par la suite fait une mise au point, en précisant qu'elle avait surtout voulu parler du statut vaccinal. 

« Je n'ai pas voulu offusquer personne. C'est juste que je me disais "câline, comment ça se fait que, si je suis vaccinée, on essaie de me dicter quoi penser de celui qui n'a pas le même statut vaccinal que moi ? Comment ça se fait qu'on essaie de me dire qu'il faut que je le dénigre, tantôt que j'en ai peur, tantôt que je le méprise, tantôt que ci, tantôt que ça. Je trouvais qu'on se sert de ce vaccin-là pour diviser alors qu'un vaccin, ce n'est pas supposé faire ça. C'est supposé améliorer une situation. Et là, on dirait qu'on s'en sert pour créer des troubles sociaux, des troubles économiques. On est même prêts à mettre des gens à pied à cause de leur statut vaccinal. D'ailleurs, c'est peut-être ça que j'aurais dû viser, c'est plus, non pas le vaccin, mais qu'on se sert du statut vaccinal pour faire de la m*rde », a-t-elle ajouté.

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