Magalie Lépine-Blondeau brille dans un nouveau shooting photo réalisé par Julie Perreault
Magalie Lépine-Blondeau est - à notre humble avis - l'une des plus belles femmes au Québec et elle l'a prouvé une fois de plus, au cours des derniers jours, en publiant le résultat d'un shooting photo auquel elle a pris part. C'est nulle autre que Julie Perreault, sa grande amie et l'une des meilleures photographes au Québec, qui était derrière la caméra.
C'est sur les médias sociaux que la comédienne a dévoilé quelques uns des clichés issus de cette séance photo et on doit dire que le résultat est impressionnant.
Voici la publication qui a été faite sur le compte Instagram de Magalie Lépine-Blondeau, dimanche:
« Duo de rêve photo @julieperreaultphotographe, maquillage @mainamilitza »
Et voici d'autres publications faites au cours des derniers mois sur le compte Instagram de Magalie Lépine-Blondeau:
« PASSION ONEPIECE (sauf parfois. Les vraies savent -swipe) »
« Ear game on »
« Not your regular kit de confinement. Bravo aux elfes. »
« Tranquille quoi
Photo merveilleuse @malinacorpadean assistée du précieux @charlesvary
Généreusement chaussée par @sarah_hall_k
Cheveux qui d’autre que @daviddamours d’amour
Peau @shannie.makeup »
« Il y a quelques années un homme indispensable à ma vie recevait un diagnostic de cancer de la prostate. C’est donc avec fierté que je me joins à la campagne #noeuvembre2020 de @procureqc visant à nous sensibiliser et à soutenir la recherche pour prévenir, détecter et traiter ce cancer diagnostiqué chez 12 hommes par jour au Québec.
Photo prise par ma précieuse @julieperreaultphotographe très bien entourée par @kevenpoisson @m_styliste @ameliebruneaulongpre »
« À tous les finissants donc; je vous dis bravo et merci.
Votre dernière année au secondaire n’a pas été « annulée » ni oubliée, elle est historique.
Sur ce cliché j’ai 16 ans. Pour citer Réjean Ducharme, mon écrivain favori à cet âge : tout m’avale. Tout m’atteint, me chavire. Je suis mal dans ma peau. J’ai l’impression que je n’aurai jamais assez de temps pour tout vivre, pour tout goûter, pour tout apprendre, et pourtant tout m’effraie. Je suis peuplée par un million de rêves et j’ignore comment me lancer à leur poursuite. Je me sens inutile. Je ne sais si je suis davantage habitée par l’envie ou la peur d’être invisible. Je me serais sentie bien seule sans la présence de mes quelques amis de l’époque à mon flan.
Si ceci trouve écho chez certains d’entre vous sachez que rien n’est définitif.
Que si la vie dite normale s’est mise en veille il y a quelques mois, c’est peut-être justement pour nous permettre de redéfinir cette normalité, de la remodeler. Votre rite de passage vers l’âge adulte est certes un peu particulier mais il est exceptionnel et fera peut-être de vous des êtres qui le seront tout autant. Dans les prochaines années vous connaîtrez de grandes amours, de vastes chagrins, des joies immenses, vous irez voter, vous choisirez un métier; soyez exigeants, vous êtes en droit de tout espérer de la vie, de l’avenir.
Nous avons besoin de vous. De vos valeurs, de vos espoirs, de vos écorchures, de votre altruisme, de votre fraîcheur, de votre colère, de votre bienveillance pour façonner des lendemains plus propres, plus sûrs, plus justes. Pour que nos possibilités et nos droits ne soient pas définis par la situation économique de nos parents, par nos origines, par notre sexe, par notre orientation sexuelle, par la couleur de notre peau. On peut respecter les règles du vivre-ensemble en étant dissident de l’intérieur, insoumis; sans être conformiste. Si vous vous sentez seuls, désorientés ou en détresse, tendez la main. Appeler à l’aide est une force.
On peut s’aimer autant à deux mètres; faut juste s’aimer mieux pis un peu plus fort pour que ça se rende. »