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L'épouse d’un officier de police meurt emprisonnée dans une auto-patrouille en plein soleil

Par NTD

Vendredi dernier, l'épouse d’un policier américain est morte emprisonnée dans une auto-patrouille. La femme d'une cinquantaine d'années est restée pendant plusieurs heures sur la banquette arrière en plein soleil alors qu'il faisait plus de 32 degrés. 

C'est le Journal de Montréal qui rapporte cette bien triste nouvelle. En effet, Clara Paulino, l'épouse d’un policier, est morte emprisonnée dans une auto-patrouille en plein soleil à Miami Shores en Floride. La femme de 56 ans est restée pendant plusieurs heures sur la banquette arrière en plein soleil alors qu’il faisait plus de 32 degrés. Pour le moment, c'est la thèse de l'accident qui est privilégiée par les enquêteurs. Ils ont émis l'hypothèse qu'elle est montée dans le véhicule pour y chercher quelque chose, mais que les portes se sont fermées et qu'un mécanisme de verrouillage automatique s'est enclenché. 

Le Journal de Montréal raconte que Aristides Paulino, son mari âgé de 58 ans, était allé se coucher une fois rentré chez lui tard le matin après son quart de nuit. Il aurait laissé déverrouiller les portes de son VUS Ford Explorer avant d'aller s'écrouler dans son lit. Sa femme n'avait donc aucune chance de s'en sortir, surtout que le quotidien indique que ce genre de véhicule est connu pour être une véritable prison. Il est presque impossible d'en sortir si les portes sont verrouillées. 

Une enquête est en cours pour connaître la cause exacte du décès de Clara Paulino, indique le Journal de Montréal. Cette dernière avait déjà eu des problèmes de santé dans le passé. Toutefois, la piste des autorités pourrait bien se confirmer. Le quotidien précise que les empreintes digitales de la victime ont été retrouvées partout à l'intérieur du véhicule. «De toute évidence, elle était paniquée et essayait de sortir», a confié une source policière au quotidien le Miami Herald. Cette histoire est une véritable tragédie pour ce couple qui était marié depuis 38 ans. 

Source: Journal de Montréal · Crédit Photo: Adobe Stock