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Si vous avez reçu des cartes de crédit prépayées pour Noël, dépêchez-vous à les utiliser.

Par NTD

On tient peut-être une des histoires les plus révoltantes de la journée et elle nous vient de Toronto où une femme voulait utiliser des cartes de crédit prépayées qu'elle a reçues en cadeau, mais s'est rapidement rendu compte qu'elles étaient presque vides.

C'est Radio-Canada qui rapporte l'histoire de Najme Farahani, une jeune femme qui a vécu une expérience très désagréable au cours des derniers jours. En effet, alors qu'elle avait reçu plusieurs  cartes de crédit prépayées pour sa fête prénatale en mars 2018, elle avait tardé avant de les utiliser. Toutefois, elle n'avait pas d'inquiétude parce qu'elles étaient censées expirer dans plusieurs années. 

Elle a donc décidé de les utiliser en décembre pour réaliser quelques achats en pleine période du temps des fêtes, soit plus d'un an et demi après les avoir reçus en cadeau.À sa grande surprise, elles étaient pratiquement vides alors qu'elles avaient une valeur de 175$. 

Qu'est-ce qui a pu se passer en l'espace d'un an et demi ? Radio-Canada indique que ces cartes sont dotés de frais mensuels qui sont déduits après un an. Un événement qui a forcément exaspéré Najme Farahani. Elle a décidé d'appeler à plusieurs reprises "Peoples Trust", l'entreprise qui distribue ses cartes pour obtenir réparation. Malheureusement, elle n'a rien pu faire ou presque parce qu'elle a seulement pu récupérer 49$. On est donc bien loin du montant initial. 

Najme Farahani a décidé de ne pas aller plus loin dans ses démarches en estimant avoir assez perdu de temps. Par contre, elle a décidé de révéler son histoire au grand public pour avertir le plus de gens possible qu'il ne faut pas trop tarder avant d'utiliser ses cartes, sous peine d'obtenir le même sort qu'elle. Radio-Canada indique cependant que l'entreprise en question respecte les règles fédérales à ce sujet. On suppose donc que l'histoire de cette femme de Toronto est loin d'être un cas isolé.

Source: Radio-Canada · Crédit Photo: Courtoisie de Najme Farahani