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Condamnée à payer près de 4 000$ pour avoir nourri des mouffettes

Par NTD

Il s'agit sans doute d'une des histoires les plus insolites de la journée et elle nous vient de la ville de Québec où une femme a été condamnée à payer près de 4 000$ d'amende pour avoir nourri des mouffettes. 

C'est TVA Nouvelles qui rapporte cette histoire complètement hallucinante qui risque de faire beaucoup réagir. Il faut dire que sur ce genre d'histoire, les avis peuvent varier et on est presque certain que de nombreuses personnes ne seront pas d'accord sur cette question épineuse. En effet, dans la ville de Québec, plus précisément dans le quartier de Val-Bélair, Suzanne Marois a été condamnée à payer près de 4 000$ d'amende pour avoir nourri des mouffettes. Ce sont voisins qui se sont plaints à plusieurs reprises aux autorités, mais sans succès parce que la dame a récidivé plusieurs fois.

TVA Nouvelles explique que Suzanne Marois avait pris l'habitude de nourrir des mouffettes avec des cacahouètes et forcément ça n'a pas plus aux voisins. Qui aimerait avoir la visite régulière de mouffettes dans sa rue ? Pas grand monde à vrai dire, c'est pourquoi on peut comprendre l'agacement des voisins qui ont laissé tout de même du temps à Suzanne Marois pour qu'elle arrête cette pratique. Il faut dire que c'est une histoire dure depuis l'automne 2017, on peut donc comprendre la lassitude du voisinage, surtout que les petites bêtes étaient parfois hostiles avec les enfants.

Il n'en fallait pas plus pour les voisins pour envoyer des vidéos à la police pour qu'elle intervienne, relate TVA Nouvelles. Au total, Suzanne Marois a été condamnée à trois amendes de 1 000$. Des frais ont été ajoutés et la chaîne de télévision explique qu'elle devra payer au total 3 966$. Une sacrée somme, tout ça pour nourrir des mouffettes. 

Elle a tout de même essayé de s'expliquer auprès des autorités en expliquant que si elle faisait ça, c'était pour chercher à adopter un chat errant, mais le tribunal n'a pas été convaincu par cette excuse, indique TVA Nouvelles. C'est donc le bien-être du voisinage qui a été privilégié plutôt que la "passion" de Suzanne Marois. Il faut dire que la gêne occasionnée par son passe-temps pas comme les autres était devenue insupportable.

Source: TVA Nouvelles

Crédit Photo: Adobe Stock