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Enceinte, Bianca Longpré annonce qu'elle a des problèmes au niveau du placenta

Par NTD

Bianca Longpré donne régulièrement des nouvelles de sa première grossesse. Et récemment, celles qu'elle annonce dans sa story sur Instagram ne sont pas de bon augure...

« Je reviens de chez le médecin. Écho de 20 semaines. Tout est beau. Sauf mon cr*ss de placenta. Recouvrement total. On se croise les doigts pour éviter les saignements-hémorragies-hospitalisations », écrit-elle. 

« Pour me rassurer, le médecin a juste répondu, à la question « Qu'est-ce que je dois éviter de faire pour éviter l'hémorragie ? » « Rien, y vous reste juste à prier », ajoute-t-elle. 

« Toujours un bon signe quand le médecin te dit qu'il reste juste à prier et te demande de ne pas aller loin de l'hôpital. Mais si je me vide pas de mon sang avant, on verra la tite face de la crevette en avance vers la fin avril ! », conclut-elle. 

Photo : Capture d'écran - Story Instagram - Mère ordinaire par Bianca Longpré

Plus tôt cette semaine, elle avait publié une photo montrant son ventre rebondi alors qu'elle se trouvait sous la douche. 

« Sur les réseaux sociaux y’a plein de magnifiques photos de femmes enceintes avec des brushing pis des belles robes. Moi c’que j’vois c’est ça.
J’hais pas ça, mais j’ai pas de brushing », avait-elle alors écrit. 

En novembre, elle avait annoncé sur les réseaux sociaux que son futur bébé sera de couleur, comme ses trois autres enfants, qu'elle a adoptés avec son conjoint François Massicotte. 

« Vous êtes nombreuses à demander : AUCUN membre de notre famille n'a de lien « biologique ». Même pas celui que je porte. Je l'ai déjà dit, j'ai « adopté » des ovules et des spermatozoïdes pour faire un embryon. J'en ai eu 5. Un est présentement dans mon ventre. L'enfant sera aussi noir-brun-surprise de couleur. C'est normal de poser des questions. Ça dépend comment on les pose », avait-elle partagé en story sur son compte Instagram.

Vers la fin du mois de septembre, elle avait également fait savoir que l'embryon qu'elle portait ne provenait pas du sperme de son conjoint ni de l'un de ses ovules. 

« Vous êtes des milliers de femmes à suivre ma grossesse et ça me touche vraiment. Je reçois des dizaines de questions chaque jour. Alors j’ai pensé vous en parler ici.

Pour celles qui ne savent pas, c’est grâce à la fécondation in vitro que j’ai eu des embryons.  Mais c’est aussi grâce au don d’ovule et au don de spermatozoïdes que j’ai pu réaliser la fécondation.  Pourquoi? Parce que les spermatozoides et les ovules ne sont plus de bonne qualité chez nous... C’est un sujet assez tabou au Québec... Souvent les femmes ne parlent pas ou peu du don d’ovules et de spermatozoides.  Au Québec il est interdit de payer pour des ovules et du sperme. Seuls les dons gratuits peuvent fonctionner. Par contre, aux États Unis, les donneurs et donneuses sont rémunérés et il existe des banques, très connues partout en Amérique du Nord, qui desservent aussi le Canada.  C’est dans une de celles ci que j’ai pu «adopter » mes ovules et mes spermatozoides. Pourquoi je dis « adopter »? Parce que malgré le fait que j’ai payé, je trouve que c’est un terme un peu délicat quand vient le temps de parler de conception. »

Source: Instagram · Crédit Photo: YouTube